LES MESGUICH JOUENT BRISVILLE…

LE SOUPER

de Jean-Claude Brisville.

Un spectacle mis en scène par Daniel Mesguich et William Mesguich.

Avec Daniel Mesguish et William Mesguish.

Durée : 1h20

Une production Miroir et Métaphore

Costumes : Dominique Louis.

Après la défaite de Waterloo et l’exil de Napoléon, Wellington et les troupes coalisées sont dans Paris. La révolte gronde. Qui va gouverner le pays ? Le 6 juillet 1815 au soir, les « faiseurs de rois » Fouché et Talleyrand se retrouvent lors d’un souper pour décider du régime à donner à la France. Si le premier souhaite une République, le second envisage le retour des Bourbons…

Suite au succès rencontré au Théâtre de Poche Montparnasse, puis à Avignon, William Mesguich (Talleyrand) et Daniel Mesguich (Fouché) incarnent de nouveau ce duel de haute volée, dans lequel la force de la langue de ce huis-clos, n’a d’égale que le cynisme et la fourberie politique. Avec en toile de fond, un climat insurrectionnel et le temps d’un souper pour trouver un destin politique à la France…

« Les deux comédiens servent un Souper exquis, face-à-face magistral. » LE PARISIEN.

« Daniel et William Mesguich ne sont pas seulement crédibles, chacun à sa façon est aussi savoureux que les mets servis à la table de Talleyrand. » L’OBS

« Ce Souper donne toujours le même plaisir, pour peu qu’on aime l’esprit français, l’Histoire qui s’anime, l’intelligence qui mousse, la culture qui s’incarne. » LE FIGARO

PASCAL DESCARTES

de Jean-Claude Brisville.

Avec Daniel Mesguich et William Mesguich.

du 7 au 30 juillet, jours pairs, au théâtre des Gémeaux,
à 16h25. Relâches les 12 et 26 juillet.

Durée : 1h15

Le 24 septembre 1647, les deux philophes les plus célèbres de leur temps se sont rencontrés à huis clos durant plusieurs heures, au couvent des Minimes à Paris. Blaise Pascal, déjà très malade, n’avait alors que 24 ans. Rien n’a filtré de cet entretien, sinon quelques courtes notes jetées sur le papier par l’un et l’autre. Jean-Claude Brisville a imaginé librement la conversation qu’ont pu avoir ces
deux hommes, à l’opposé l’un de l’autre, et qui se découvrent progressivement…

 Le Figaro :  » On se régale à écouter cette joute interprétée avec ferveur par Daniel Mesguich, Descartes qui a de la griffe, face à son fils William, ravi de conduire le duel. «